Dans le cadre de son dossier « L’art et la manière de bien défiscaliser » pour les Echos Week-End, Jean-Denis Errard a recueilli les propos de Laurent de Swarte.
En France, pas moins de 474 « niches » permettent de réduire la note du fisc. Défiscaliser est presque devenu un art. Reste à savoir comment faire et, surtout, si c’est la meilleure solution en terme de rentabilité.
Comme le souligne Laurent de Swarte, associé d’Agami Family Office, spécialiste de la gestion de fortune, « il vaut souvent mieux payer de la fiscalité sur des placements performants que de tenter de défiscaliser avec des solutions risquées pour lesquelles le seul qui gagne de l’argent est le commercialisateur ». Des opportunités sérieuses existent, à condition de solliciter un bon conseil en gestion de patrimoine (CGP) capable de proposer une solution sur-mesure et non pas ces « prêt-à-porter » de la défiscalisation truffés de frais.
Et pourquoi pas la philanthropie ?
Et finalement, fait remarquer Laurent de Swarte, « la palme de la défiscalisation avec 66% déductible sur votre impôt, c’est la philanthropie. Il est certain que donner à une association ou à une fondation ne vous rendra pas plus riche, par contre vous êtes sûr que l’argent sera utilisé à bon escient ! » La philanthropie est une valeur montante, nous explique cet expert qui note que « c’est aussi un levier formidable de cohésion au sein d’une famille ou d’une société ».
Article « L’art et la manière de bien défiscaliser » à retrouver dans son intégralité sur le site des Echos.
L. de Swarte avait précédemment été interrogé par ce média pour le dossier « Défiscaliser, un art subtile ».