Dans le cadre de l’article publié par Le Nouvel Économiste « Assurance-vie, la transmission paisible », François Simon était invité à s’exprimer sur le sujet :
«Dans le cadre de l’assurance-vie, une donation peut se faire en toute discrétion puisqu’elle ne rentra pas dans le cadre d’une succession. Avec l’assurance-vie, le souscripteur peut ainsi très bien par exemple favoriser l’un de ses enfants en toute légalité ou léguer une partie de son capital à son voisin sans que ce dernier ne soit imposé à hauteur de 60 % […] si les primes versées sont manifestement exagérées, la justice peut exiger la réintégration dans la succession de l’intégralité des primes versées, ou uniquement de leur fraction excessive.»